On parle de nous 2015 – 2017

NAAT-Conf

Vu et entendu dans la presse

Mediapart, « Climat: Paris va-t-il poursuivre en justice les géants pétroliers? », 18/04/2018

Il est non contraignant et pourtant, le vœu voté le 6 février par le Conseil de Paris pourrait être le début de quelque chose de bien plus grand. Paris hésite en effet à marcher dans le sillage de New York et à assigner à son tour les compagnies pétrolières pour leur présenter la facture climatique. À ce jour, aucune collectivité n’a fait condamner un groupe énergétique pour sa responsabilité dans le changement climatique. Mais petit à petit, la jurisprudence change. Pour Marie Toussaint, « ce sont toutes ces petites victoires qui mises bout à bout laissent espérer un changement ».

Ouest-France, « Normandie, EPR : le décret de prolongation confirmé», 28/03/2018

Le Conseil d’État déboute les deux associations qui contestaient l’arrêté prolongeant de trois ans le délai de construction. Le Comité de réflexion, d’i’formation et  de lutte anti-nucléaire (Crilan) et l’association Notre affaire à tous avaient déposé le 23 mai 201 un recours devant le Conseil d’Etat pour demander l’annulation du décret ministériel qui a prolongé pour trois ans l’autorisation de construction du nouveau réacteur nucléaire de type EPR à Flamanville (Manche).

Politis, « La lutte contre le changement climatique serait une valeur constitutionnelle », 05/03/2018

La réforme de la Constitution, présentée mardi 6 mars à l’Assemblée, y intégrera le climat. Une avancée significative qui doit aller plus loin pour Marie Toussaint, de Notre affaire à tous.

RadioFrance, « Rendez-vous tous azimuts à Matignon pour réformer la Constitution », 06/03/2018

Edouard Philippe prend la main sur la réforme constitutionnelle : le Premier ministre entame ce matin une série de consultations avec les présidents des groupes parlementaires et les présidents des deux chambres. Bras de fer avec la droite, majoritaire au Sénat, sur la réduction du nombre d’élus. Explications de Stéphane Robert et interview de Marie Toussaint, présidente de l’ONG « Notre affaire à tous » (qui milite pour ce qu’elle appelle « la justice climatique », jointe par Sandy Dapuhin).

Info durable, « Inscrire le climat dans la Constitution : une avancée suffisante ? », 07/03/2018

La réforme constitutionnelle en cours d’élaboration doit permettre d’intégrer la lutte contre le changement climatique dans la Constitution, a annoncé cette semaine l’Élysée. La seule mention des enjeux climatiques dans le texte suprême revêt ainsi tout d’abord un aspect « symbolique », estime Marie Toussaint, présidente de Notre Affaire à tous, pour qui il faut toutefois suivre avec attention la suite des opérations : « En fonction de la rédaction que prendra la modification de l’article 34, on peut s’arrêter à un aspect symbolique ou aller beaucoup plus loin. Il n’y aura un effet réel que s’il y a une obligation d’agir, une obligation d’écrire les lois afin qu’elles aillent toutes dans le sens de la lutte contre le changement climatique, et en ouvrant la possibilité aux citoyens de défendre leur droit à un environnement sain ».

La Croix, « Un revers judiciaire pour Europa City», 07/03/2018

Mardi 6 mars, la justice a annulé l’arrêté de création de la zone d’aménagement concerté (ZAC) du « triangle de Gonesse », qui doit notamment accueillir le méga complexe de loisirs. « Une jurisprudence émerge, qui souligne qu’il faut prendre en compte les limites planétaires et préserver la nature, l’air, l’eau, les sols », observe Marie Toussaint, présidente de l’association Notre affaire à tous, qui œuvre à l’instauration d’une justice climatique.

Le Journal de l’environnement, « Le climat dans la Constitution : ce qui changera, ou pas », 07/03/2018

Une inscription dans la loi fondamentale sera-t-elle utile au climat? Seulement à certaines conditions, précisées par des juristes réunis au colloque organisé le 8 mars à l’Assemblée nationale. La maître de conférences Christel Cournil a dénombré seulement 5 décisions du Conseil constitutionnel évoquant le climat, dont trois questions prioritaires de constitutionnalité (QPC). 

Le Monde, « La Constitution pourrait intégrer le défi climatique», 06/03/2018

A l’occasion de la réforme institutionnelle dont les consultations débutent mardi, l’Elysée veut introduire dans l’article 34 la lutte contre le réchauffement. Notre Affaire à tous, l’association aspirant à faire évoluer le droit et à l’adapter aux préoccupations environnementales, accueille cette réforme comme une « excellente nouvelle ».

Libération, « One Planet Summit : Macron donne rendez-vous dans un an », 12/11/2017

Seulement trois semaines après la COP 23 de Bonn, les regards se tournent vers le secteur privé pour ce sommet consacré à la finance verte et organisée par le président français, la Banque mondiale et l’ONU. Pour Notre affaire à tous «Quant à l’aide française à l’adaptation pour les pays du Sud, le gouvernement prévoir 1,5 milliard d’euros par an dès 2020, là où la taxe européenne sur les transactions financières, repoussée par la France en juillet, permettrait de mobiliser 22 milliards d’euros dont une bonne partie serait consacrée à l’adaptation.»

Reporterre, « Le monde de la finance accusé d’aggraver le changement climatique », 11/12/2017

En prévision du One Climate Finance Day qui se tiendra mardi 12 décembre, une dizaine d’ONG ont organisé à Montreuil le procès de ces acteurs économiques pour dévoiler leur double discours. « Je déclare ce tribunal des peuples ouvert », lance Marie Toussaint depuis la scène. Au côté de Brett Fleishmann de 350.org et d’Aurélie Trouvé d’Attac, la présidente de l’association Notre affaire à tous va exercer avec ses deux camarades de lutte le sacerdoce de magistrat du climat le temps d’une soirée.

Politis, « La finance climaticide sur le banc des accusés », 11/12/2017

Des ONG ont fait le procès fictif des financeurs de projets liés aux hydrocarbures, en grande partie responsables du dérèglement climatique. Pour ce procès fictif, le rôle des juges est confié à Aurélie Trouvé, coprésidente d’Attac, Marie Toussaint, présidente de l’association Notre affaire à tous qui milite pour la justice climatique, et Brett Fleishmann de 350.org.

Place to B, « Notre affaire à tous : l’interview », 05/12/2017

Quelques jours avant la COP23, nous avons eu la chance de rencontrer Marie Toussaint, présidente de l’association Notre Affaire A Tous. A une semaine du One Planet Summit du président Macron, retrouvez notre interview pour en savoir plus sur la justice climatique et des engagements de la France dans ce domaine !

RFI, « Homo natura, en harmonie avec le vivant », 18/11/2017

Administratrice et co-fondatrice de Notre affaire à tous, Valérie Cabanes revient sur son dernier ouvrage et sur notre campagne, sur RFI le samedi 18 novembre 2017.

Public Sénat, On va plus loin « Pour la justice climatique, après la COP23 », 15/11/2017

Au-delà des paroles, les Etats ont-ils pris de véritables décisions pour sauver le climat ? Marie Toussaint, présidente de Notre affaire à tous, fait le point, aux côtés du Réseau action climat, de Joël Labbé et de la SFEN.

Reporterre, « Comment agir face au dérèglement climatique ? Le débat », 16/11/2017

Le 10 novembre, Politis et Attac organisaient un débat sur l’action face au défi climatique. Retrouvez le débat sur Reporterre, avec Christel Cournil et Marie Toussaint.

France info, « Faire vivre la justice climatique en France », 07/11/2017

Les actions en justice pour le climat se multiplient. Marie Toussaint en parle sur France info.

Notre tribune dans Libération, « Faire de la France le pays leader du climat », 03/11/2017

Juristes, avocat.es, étudiant.es, chercheurs.ses ou citoyen.nes, nous pensons que cette ambition ne peut se réaliser sans transformer profondément le cadre juridique français, aujourd’hui inadapté à la donne climatique. Aussi formulons-nous ces cinq premières propositions concrètes pour un Etat innovant et ambitieux en matière climatique.

Retours sur notre colloque exceptionnel, « Vers une coalition mondiale pour la justice climatique », 03/11/2017

La presse revient sur notre colloque pour la justice climatique : dans le Journal de l’environnement, dans Novethic, dans Environnement magazine, dans RSE Data news.

Terra Eco, « Après la COP, tous au tribunal pour faire valoir nos droits », 18/12

Et si le combat climatique passait par la justice ? Après les Pays-Bas, l’Etat français pourrait se voir rappeler à l’ordre par les juges. Tel est le but de Notre affaire à tous. Pour l’association, l’accord de Paris est un encouragement.

 

Francetvinfo, « COP21 : quand les citoyens jugent les « ennemis du climat » dans des tribunaux populaires », 10/12

Faire évoluer la législation, c’est aussi l’objectif de Notre affaire à tous, qui se bat pour faire reconnaître par la loi le principe d’écocide, soit la destruction ou l’endommagement d’un écosystème. Vendredi 4 décembre, la toute jeune association a détaillé son plan d’attaque : elle a annoncé avoir envoyé à l’Etat – à l’Elysée, à Matignon, mais aussi à plusieurs ministères – une réclamation préalable pour « défaillance dans la lutte contre le dérèglement climatique ».

Village de la justice, « Lutte contre le changement climatique : la stratégie du droit », 09/12

A l’heure où les états participants à la COP 21 débattent et s’entendent pour mettre en place un accord pour contenir le réchauffement climatique en deçà de 2°C, le Village de la Justice a voulu savoir comment le Droit pouvait-être un outil dans cette lutte contre le réchauffement climatique. Quelle stratégie devrait-être celle du droit et des professionnels qui composent ce domaine ?

Terra Eco, « Les tribunaux climatiques : la France devant les juges », 08/12

Le changement climatique ne tombe pas du ciel. A Paris, les faux procès se sont enchaîné en marge de la COP21. Et pourraient déboucher sur de vraies actions juridiques ciblant notamment les Etats laxistes. L’Hexagone n’est pas à l’abri.

La Croix, « Les blogueurs et activistes du climat se retrouvent à Place to B », 07/12

Marie Toussaint, veut faire condamner l’Etat français Dans la salle de « co-working », protégée de l’agitation qui règne dans la cafeteria, des militants d’EELV ont convoqué une conférence de presse pour annoncer le lancement du mouvement Notre affaire à tous. Objectif : porter devant les tribunaux français une plainte contre l’Etat français pour ses manquements en matière de protection de l’environnement. « Il est important de négocier, mais il est aussi essentiel de défendre les intérêts des citoyens, ce que permet un lieu comme Place To B. Le climat n’est pas que l’affaire des politiciens du Bourget, le climat appartient à tous. Ici, on trouve d’autres solutions. »

Le Monde, « Justice environnementale : pour nous, citoyens, le droit est une arme », 04/12

La France sera-t-elle le prochain Etat à passer devant les tribunaux pour politique climatique négligente ? Après le cas des Pays-Bas, condamnés en juin à réduire davantage leurs émissions de gaz à effet de serre, c’est au tour de l’association « Notre affaire à tous » d’emprunter la voie judiciaire pour tenter de contraindre Paris à prendre des engagements de réduction de ses émissions plus ambitieux, et des mesures plus efficaces contre le dérèglement climatique.

Le Nouvel observateur, « Réchauffement climatique : l’Etat français traîné devant la justice », 04/12

Une ONG écolo veut porter plainte contre l’Etat français car il ne protège pas ses ressortissants contre le réchauffement climatique. Une manière audacieuse de pousser la France au volontarisme.

Causette, « Et si la grande justicière qui sauvera notre planète était… la justice », 04/12

À Place to B, « salle de presse alternative de la COP 21 » à Paris, ce vendredi 4 décembre, l’association Notre affaire à tous a annoncé qu’elle avait envoyé à l’État une réclamation préalable pour « défaillance dans la lutte contre le dérèglement climatique ». Si ce dernier ne réagit pas, l’assos composée de juristes portera l’affaire devant le tribunal administratif, optant pour une judiciarisation de la lutte climatique.

Le journal de l’environnement, « Justice climatique, la France dans le box des accusés », 04/12

La décision du tribunal de La Haye de condamner, en juin dernier, les Pays-Bas pour l’insuffisance de la réduction de ses émissions de gaz à effet de serre a donné des idées à d’autres associations à travers le monde.

Actu-environnement, « Une ONG attaque l’Etat français pour défaillance dans sa lutte contre le dérèglement climatique », 04/12

L’association « Notre affaire à tous » engage une action contre l’Etat pour carence dans la lutte contre le changement climatique et défaut de protection de la population. Plusieurs initiatives étrangères la confortent dans cette action.

Sortir du pétrole, « Recours en préparation contre l’Etat français pour défaillance dans la lutte contre le dérèglement climatique », 04/12

L’association « Notre Affaire à tous » a décidé de sommer l’Etat de « remédier au préjudice que subit la population française présente et à venir » du fait du risque climatique croissant unanimement constaté par la communauté internationale lors de l’actuelle COP21. « À défaut d’une réponse sous deux mois, nous engagerons une plainte au tribunal administratif », prévient l’association.

Télérama, « Le droit au secours de l’environnement », 03/12

En France, une association envisage un recours contre l’Etat pour “défaut de protection des générations présentes et futures”. Dans d’autres pays, des juges ont déjà condamné des gouvernements à agir en faveur du climat, et ce n’est qu’un début. La juriste Mathilde Hautereau-Boutonnet nous explique les enjeux de ces nouveaux combats.

Revue des sciences de gestion, « Recours contre la France pour défaillance dans la lutte contre le dérèglement climatique », 03/12

L’association Notre Affaire à tous engage ce jour le processus en vue d’un recours contre l’Etat pour défaut de protection des générations présentes et futures, et défaillance dans la lutte contre le dérèglement climatique.